Propositions pour Commandeurs et Chevaliers des Régiments.
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Propositions pour Commandeurs et Chevaliers des Régiments.
Propositions du général de division Dorsenne, colonel du corps, et des chefs de bataillon des divers régiments : 2 octobre 1809.
La Garde Impériale.
Grenadiers à pied.
ALBERT Georges. Capitaine, né le 18 juin 1776 à Saint-Maurice d’Echazeau (Ain).
18 ans de servies ; seize campagnes ; deux blessures reçues devant Mayence et à Alexandrie, « le 22 ventôse an IX, en Egypte a repris à la tête de sa compagnie de grenadiers, deux pièces de canon qu’une colonne anglaise avait renfermées dans son carré et les a ramenées malgré la vigoureuse résistance de l’ennemi ».
LEBEAU (Honoré-Magloire), Sergent-major au 1er bataillon. Né le 3 octobre 1775 à Barzy (Aisne).
Dix ans de services ; seize campagnes ; blessé devant Saint-Jean-D’acre et fait après la bataille, sergent, par brevet d’honneur le 7 juillet 1799.
PERCEVAL (Pierre), grenadier au 2e bataillon. Né le 8 décembre 1779 aux Marches (Mont-Blanc).
Douze ans de services ; douze campagnes ; ancien guide Bonaparte ; douze blessures dont quatre sur la tête ; « ne sachant ni lire, ni écrire, a refusé le grade de caporal ».
Les noms en capitales grasses étaient proposés pour le grade de commandeurs. Ceux en capitales ordinaires pour chevaliers.
P.S : D'autres régiments de la Garde vont suivres.
La Garde Impériale.
Grenadiers à pied.
ALBERT Georges. Capitaine, né le 18 juin 1776 à Saint-Maurice d’Echazeau (Ain).
18 ans de servies ; seize campagnes ; deux blessures reçues devant Mayence et à Alexandrie, « le 22 ventôse an IX, en Egypte a repris à la tête de sa compagnie de grenadiers, deux pièces de canon qu’une colonne anglaise avait renfermées dans son carré et les a ramenées malgré la vigoureuse résistance de l’ennemi ».
LEBEAU (Honoré-Magloire), Sergent-major au 1er bataillon. Né le 3 octobre 1775 à Barzy (Aisne).
Dix ans de services ; seize campagnes ; blessé devant Saint-Jean-D’acre et fait après la bataille, sergent, par brevet d’honneur le 7 juillet 1799.
PERCEVAL (Pierre), grenadier au 2e bataillon. Né le 8 décembre 1779 aux Marches (Mont-Blanc).
Douze ans de services ; douze campagnes ; ancien guide Bonaparte ; douze blessures dont quatre sur la tête ; « ne sachant ni lire, ni écrire, a refusé le grade de caporal ».
Les noms en capitales grasses étaient proposés pour le grade de commandeurs. Ceux en capitales ordinaires pour chevaliers.
P.S : D'autres régiments de la Garde vont suivres.
Invité- Invité
Re: Propositions pour Commandeurs et Chevaliers des Régiments.
Fusiliers-Grenadiers.
JACQUOT Claude, capitaine. Né le 30 mars 1770 à Ligny-sur-Ornain (Meuse)
Dix-neuf ans de services ; dix-huit campagnes ; cinq blessures : Marengo, Iéna, Eylau, Suvraslo (Pologne).
"Le 9 juin 1793, à Arlon, a pris une pièce de canon ; le 18 novembre 1793, à Saverne, a pris une pièce de canon et fait sept canonniers prisonniers ; a reçu un sabre d'honneur pour avoir suaté le premier dans la redoute du village de Stepizza, le 2 germinal an V, y avoir pris deux pièces de canon et fait quinze prisonniers ; le 9 germinal an V, est monté le premier à l'assaut du fort de la Chiuza, y a pris sept pièces de canons et fait prisonniers, dans l'épaulement de la redoute, cinq officiers dont un colonel et cent six soldats qu'il fit conduire au général commandant la division. A Montebello, le 20 prairial an VIII, a fait soixante prisonniers, dont cinq officiers ; à Marengo, a pris une pièce de canon et un caisson ; à Austerlitz, s'est porté avec un peloton de voltigeurs à l'entrée du village de Sokolnitz et, au nom du général Morand, a sommé le commandant de la colonne russe de rendre prisonnier, de mettre pied à terre et de faire rendre les armes à tous les siens (1)".
(1). A Waterloo, à la tête d'une partie de son bataillon, soutint le choc d'une forte colonne anglo-prussienne et parvint, par sa bravoure et sa fermeté, à s'emparer quatre fois consécutives du village en avant du Mont-Saint-Jean.
JACQUOT Claude, capitaine. Né le 30 mars 1770 à Ligny-sur-Ornain (Meuse)
Dix-neuf ans de services ; dix-huit campagnes ; cinq blessures : Marengo, Iéna, Eylau, Suvraslo (Pologne).
"Le 9 juin 1793, à Arlon, a pris une pièce de canon ; le 18 novembre 1793, à Saverne, a pris une pièce de canon et fait sept canonniers prisonniers ; a reçu un sabre d'honneur pour avoir suaté le premier dans la redoute du village de Stepizza, le 2 germinal an V, y avoir pris deux pièces de canon et fait quinze prisonniers ; le 9 germinal an V, est monté le premier à l'assaut du fort de la Chiuza, y a pris sept pièces de canons et fait prisonniers, dans l'épaulement de la redoute, cinq officiers dont un colonel et cent six soldats qu'il fit conduire au général commandant la division. A Montebello, le 20 prairial an VIII, a fait soixante prisonniers, dont cinq officiers ; à Marengo, a pris une pièce de canon et un caisson ; à Austerlitz, s'est porté avec un peloton de voltigeurs à l'entrée du village de Sokolnitz et, au nom du général Morand, a sommé le commandant de la colonne russe de rendre prisonnier, de mettre pied à terre et de faire rendre les armes à tous les siens (1)".
(1). A Waterloo, à la tête d'une partie de son bataillon, soutint le choc d'une forte colonne anglo-prussienne et parvint, par sa bravoure et sa fermeté, à s'emparer quatre fois consécutives du village en avant du Mont-Saint-Jean.
Invité- Invité

» different entre deux régiments
» J'ai testé pour vous la confection de boutons recouverts blancs pour guêtres et culotte,...
» Convocations pour l'AG 2015
» Aigle pour drapeau
» "bouure" pour pistolet an IX
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