Historique de la bataille de Montereau
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Historique de la bataille de Montereau
Vendredi 18 février 1814
A 70 km au S-E de Paris, en bordure de la Seine.
L'Empereur Napoléon, commandant l'armée française.
Le prince royal du Wurtemberg, commandant le 4e corps d'armée.
Napoléon désirait enlever à tout prix le pont de la seine au prince royal du Wurtemberg, Pajol accouru par la route de Melun, déboucha sur la gauche ennemie tandis que Victor attaquait les ennemis de front. L'Empereur mécontent de son maréchal parcequ'il avait manoeuvré trop lentement d'après lui, lui retira son commandement et le confia au général Gérard. Les Wurtembourgeois voulurent ensuite enlever les batteries françaises mais ils furent repoussés. Napoléon s'avança alors lui-même avec sa Garde et repoussa les Alliés au milieu du corps de Pajol. L'Empereur précipita la retraite des vaincus en dirigeant lui-même le feu de l'artillerie ; il fut dans cette journée admirablement secondé par les habitants, qui, de leurs fenêtres, tiraient sur les ennemis.
Météorologie
Temps magnifique dans la journée avec du soleil et pas de nuages mais il neigeait le soir, et le gel reprit.
Topographie
Ville située en bordure de la Seine, qu'enjambe un large pont, au pied des hauteurs de Surville où se trouvait le château.
Début de la bataille : vers 09h00
Fin de la bataille : vers 18h00
Forces françaises 28 000 hommes
Forces alliées 18 000 hommes
Pertes françaises 400 tués et blessés
Pertes alliées 2 000 tués et blessés
Général tué : Gal Huguet-Chataux, commandant la 1ère brigade de la 1re division du 2e Corps
Témoignage : "La crainte d'être attaqué par l'Empereur Napoléon en personne devenait à chaque instant plus incertaine parmi les Alliés. L'effroi que son nom seul inspirait se peignait sur toutes les physionomies. Le morne silence des soldats n'étaient interrompu que par le nom terrifiant qu'ils répétaient les uns les autres à voix basse : Napoléone ! Napoléone ! et cette terreur avait succédé à des chants de triomphe dans lesquels le nom de l'Empereur était aussi prononcé, mais d'une manière dérisoire."
(Tondu-Nangis père, Manuscrit sur Montereau, publié dans la campagne de 1814 par G.Bertin, p. 132.)
Texte tiré du dictionnaire de la Grande armée de Alain Pigeard.
A 70 km au S-E de Paris, en bordure de la Seine.
L'Empereur Napoléon, commandant l'armée française.
Le prince royal du Wurtemberg, commandant le 4e corps d'armée.
Napoléon désirait enlever à tout prix le pont de la seine au prince royal du Wurtemberg, Pajol accouru par la route de Melun, déboucha sur la gauche ennemie tandis que Victor attaquait les ennemis de front. L'Empereur mécontent de son maréchal parcequ'il avait manoeuvré trop lentement d'après lui, lui retira son commandement et le confia au général Gérard. Les Wurtembourgeois voulurent ensuite enlever les batteries françaises mais ils furent repoussés. Napoléon s'avança alors lui-même avec sa Garde et repoussa les Alliés au milieu du corps de Pajol. L'Empereur précipita la retraite des vaincus en dirigeant lui-même le feu de l'artillerie ; il fut dans cette journée admirablement secondé par les habitants, qui, de leurs fenêtres, tiraient sur les ennemis.
Météorologie
Temps magnifique dans la journée avec du soleil et pas de nuages mais il neigeait le soir, et le gel reprit.
Topographie
Ville située en bordure de la Seine, qu'enjambe un large pont, au pied des hauteurs de Surville où se trouvait le château.
Début de la bataille : vers 09h00
Fin de la bataille : vers 18h00
Forces françaises 28 000 hommes
Forces alliées 18 000 hommes
Pertes françaises 400 tués et blessés
Pertes alliées 2 000 tués et blessés
Général tué : Gal Huguet-Chataux, commandant la 1ère brigade de la 1re division du 2e Corps
Témoignage : "La crainte d'être attaqué par l'Empereur Napoléon en personne devenait à chaque instant plus incertaine parmi les Alliés. L'effroi que son nom seul inspirait se peignait sur toutes les physionomies. Le morne silence des soldats n'étaient interrompu que par le nom terrifiant qu'ils répétaient les uns les autres à voix basse : Napoléone ! Napoléone ! et cette terreur avait succédé à des chants de triomphe dans lesquels le nom de l'Empereur était aussi prononcé, mais d'une manière dérisoire."
(Tondu-Nangis père, Manuscrit sur Montereau, publié dans la campagne de 1814 par G.Bertin, p. 132.)
Texte tiré du dictionnaire de la Grande armée de Alain Pigeard.
Invité- Invité
Re: Historique de la bataille de Montereau

En tout cas, on a pensé à vous, qu'est-ce que vous auriez eu froid

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La Feuille. :study:
Invité- Invité

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